course contre l'orage [[PV Cornu et son petio']]

J'avais froid et chaud en même temps. Mon coeur battait si fort que j'avais du mal à respirer, je ne me rapelais même plus que j'en avais un d'aillieur. La pluie était si forte que j'en avais mal au dos. Mon corps athlétique était tout ruisselant et brillait, luisait. Un énorme coup de tonnerre tomba à quelques mètres derrière moi. Tous mes muscles se contractères d'un seul coup et je m'élancea au grand galop sans m'en rendre compte. Puis en avanant au fur et à mesure je m'aperçus du vide. Je freina tant que je put et derapa et en poussant un énnissement strident que je poussa je tomba dans le vide et je sombra dans le noir

La jument noire était allongée sur une plate forme à qelques mètre au dessous du haut de la falaise. Elle c'était évanouie et pour l'instant ne reprenait pas c'est ésprit.

A peine arrivé que déja, l'orage s'était arrêté. En même temps que les chaleurs. Je voulais les chaleurs, moi ! Pour leur montrer un peu qui je suis à tous ces bouseux. Je serai bientôt leur dominant, si je le voulais. Mais cela ne m'attirait guère. Règner sur des crétins n'a rien d'attirant. Mes sabots résonnaient clair sur ce sol calcaire, et les nombreuses fissures prouvaient la finesse de la roche. Une douce odeur s'emparai de mes naseaux...une jument en retard sur ces chaleurs...Mmmmh. Je partis au galop de l'arrêt, aussi vite que mes muscles saillants puissent me le permettre. Les crins flottant au vent, le soleil dans les yeux, je fus un moment ébouis. Mais un arbre me sauva la vie. Il me cachai dus soleil, et me permis d'entrevoir ma mort. A quelques mètre à peine, la falaise. Pivotant agilement sur une patte, je priai d'être encore en vie. Apparement, le sol fissuré n'aurai pas arrangé ma chute. Je mepenchai dangereusement sur le vide, appercevant la jument. Assomée, sans conscience. Je descendis doucement sur ce contre-bas qui nous séparait, et me mis à la sentir. La poule mouillée avais dû se jeter dans le vide plutôt que d'affronter la foudre. Elle en avais peur. Du bout du museau, je la poussai agressivement. Elle aussi devrai apprendre à m'obéir.

Ha ... Une odeur m'envahie les naseau, un étaon, je voyais encore tus noir, mais j'arrivais a sentir ce qui se passait autour de moi. Je sentais l'étalon juste a coté qui donnait des coup violent de museau, j'était consiente mais je ne voulais pas dessuite rouvrir les yeux et découvrir tous ce qui se passait au alentour. Je devais être sur une plate forme car sinon je serais morte. Je plaqua mes oreilles sur ma nuque et entrouvrit les yeux, La soleil m'envahis et je fut éblouit. Le temps que ma vu s'adapte je découvrit l'étalon à coté de moi bien comme ce que je pensais et j'était bien sur une plate-forme. Je me releva le plus rapidement que je put et pincea les naseaux toujours les oreilles plaquées en arrière. la queue plaquée qui fouétait l'air. Je le regardais droit dans les yeux.
-Qui es tu pour osé me toucher comme sa ?!
Ma voix était toujour aussi rauque et sèche et remplie de fermetée. l'étalon n'avait pas l'air simpatique. D'aillieur moi non plus je ne l'était pas. J'était même dominante des irritable et je prenais mon titre comme tel. Je marhais tête haute.

Pffffff...Ces juments, toutes les mêmes ! Toujours en train de rouspeter, de se la "pêter", ça cause, ça cause mais ça n'avance pas. Les étalons eux peuvent faire règner l'ordre, et cela, elle devrais le comprendre. Faisant claquer fortement un sabot au sol, je fis comprendre à la belle noire que nous étions sur une plateforme qui n'apartenais pas à la catégorie des plus solides. Il suffisait que l'un de nous deux tombe pour chuter dans le vide, tandis que l'autre aurait assez de réflexes pour sauver sa mise. L'encolure tendue, les naseaux dilatés, les oreilles plaquées en arrière, j'étais en colère. Je lui répondais limite en lui crachant dessus.
-Assez fort pour te dominer.
Soudain, je poussai un hennissement strident, qui fendait l'air. Je lançai l'attaque. Cette jument saurai certainement se battre comme un étalon. J'entrouvris la machoire, de sorte à ce qu'elle aperçoive mes crochets anormalement gros. Le regard avide d'envie, je ne me retins plus. D'un coup rageur, je me dressai sur mes postérieurs, et frappa, de mon puissants sabot droit. Contrairement aux autres chevaux, j'étais droitier. Cela ne faisait que décupler ma force et ma haine. Mon sabot retombai lourdement sur le dos de la jument encore légèrement éblouie, et une fente sanglante s'entrouvris. *Si elle est forte, cela ne dois pas lui faire bien mal !* Ma queue fouettai l'air, j'étais attentif à t(out réaction, toujours dressé sur mes postérieurs.

La douleur passa comme une fusée dans tout mon corps mais je me retint un puissant hennissement. Il ne devait pas voir que j'ai eu mal. Mais lui allait souffrir bien plus que moi pendant cette bataille.Je me cabra à mon tour. Mais je ne l'attaqua pas Je le poussa contre la paroie et me rua vers le haut. Une fois arriver en haut je le dominais largement, il n'avais pas consience qu'il parlait à la dominante des irritables. Mais le problème d'être dominante de ce groupe est que tous le monde veux prendre cette place, ce rang et je n'étais jamais sur d'y rester. du moins vivante. Je me cabra de toute ma hauteur, fouettant l'air de mes puissants anterieur. Il devais me prendre pour une jument prétentieuse mais à la base je ne devais pas être toute seule à attaquée *Nous devions former un groupe ! Il fout quoi là ?!* Je lancea un hénnissement grave et puissant et plaqua les oreilles en arrière avant de me présenter.
-Sais tu au moins à qui tu t'adresse ? Hé bien non. Je vais te le dire. Tu t'adresse à Bad Smile des irritables ... Dominante des Irritables.
Je piaffais surment une petite baston qui allais me remettre dans les rangs. Cela faisait déjà longtemps que quelqu'un avait oser me defier. Apple' n'était pas beaucoup présent c'est temps ci. Je dirais même que je ne l'ai pas vu depuis notre accord. En espérant qu'il ne soit pas mort dans un combat ... enfin ... après tous je pourrais combattre toute seule et reignée seule. Je prouverais que les juments ne sont pas des moins que rien.

Elle se croit capable de me dominer ? La pauvre...elle n'a pas la chance d'avoir déja trouvé quelqu'un de plus fort qu'elle. Cette "Bad Smile" ne me parait pas si agressive que cela, même sa blessure lui faisait mal...Je me prêtai au jeu. Moi aussi, je remontai ce promontoire, d'une force inouïe, puis me placa face à elle, l'encolure dressée, oreilles en avant, regard vide. Ce regard du prisonnier.
-Tu n'a jamais entendu parler du prisonnier de la tour basse ?
Que de bons souvenirs. Un démon qui boit l'esprit des offrandes. Son pouvoir à l'équinoxe est décuplé. MAis ce n'est qu'une légende. Une légende qui m'est destiné. Je suis juste le plus fort des étalons, et peut très bien régner sur ces bouseux que sont les iriitables !
-Si, tu me connais...tu sais que je suis plus fort que toi, et que je peut vous dominer plus que facilement, toi et tes bouseux.Sous cette provoquation, elle allait surement frapper un coup. Je restai aux aguets, attentif et tous les sens en alerte. Belle jument, malgrès son opposition à moi. J'espérai qu'elle allait me reconnaitre. Cela allait m'éviter de longues explications dont j'avais horreur. Bloody Sunshine est prêt à tous. Même pour de superbes jument, je peut leur fracasser le crâne sans remords. Je n'aurai plus qu'a sortir un "Tant pis" désagréable, et cette légende m'appartiendra.

Je rêve là ?! Il me provoquais ! Mais il ne me connais pas ! En même temps je ne savais pas de quoi il était capable. mais il devais bien avoir un coeur quand même tous le monde reste un peu sensible dans sa vie il n'y a pas d'exeption. même moi j'ai eu un coeur un jour mais ce jour je l'ai definitvement oublier.
Le prisonnier de la tour basse... J'avais en vit de dir non pour l'embeter mais j'en avais entendu parler. Un cheval monstrueux. Un Démon !
-Je doit t'avouer que certains sont vraiment des bouseux mais pas tous alors tu n'as qu'a aller leur casser la gueule à Eux !
La saison des chaleures aprochait il vaudrais mieux pour moi que je parte maintenant mais fuire une bagarre n'était pas la bonne solution je passais pour une mauviette.
C'est exactement le genre d'étalon qui m'énervais que dans les muscle et rien dans la tête. Il ne pensent qu'a se battre si on leur enlève sa ils passent pour des tapettes.
-Je le sais que tu es plus fort que moi mais je suis dominante et je doit me battre si on me provoque je n'est pas le choix !
Ma voix était imperturbable et je n'avais pas changer j'étais toujour aussi serieuse méfiante et j'avais toujour mes naseaux pincés et mes oreilles plaquées contre ma nuque.
Je n'aimais pas vraiment ce cheval il avait beau être beau et malin il était peut être trop fort et plus puissant que moi c'était peut être pour sa que je ne l'aimais pas.

Cette jemnt ne m'apréciait pas. Cela se sentait dans son souffle, et dans son regard. Elle à horreur d'être dominée. Mais il faudrai bien qu'elle s'y plie un jour. Il y a toujours plus fort que soit. Et elle n'avais pas l'air de l'avoir compris. Mais je ne tentais pas l'attaquer de suite. Testons là, d'abord. Ma robe se refletai au soleil, les crins flottant au fil du vent, pourquoi bouger ?
-C'est exactement ce que je fais...
Elle était en tord. Elle n'est pas obligée de se battre. Elle peut se défiler, et passer pour une tapette. Mais je me doutais que ce n'étais ni son genre, ni le mien. Je pense avoir plusieurs points communs avec cette jeune jument de cinq ans. Mais son coeur était sûrement envellopé de la plus dure couche de pierre qu'il soit. Après, ce sont ses affaires. Même si je n'en avais pas l'air, je savais soupeser chacunes de mes paroles...

Il était malin ! A cacunes de ces paroles j'étais obligée de reflechir avant de répondre. Il n'était pas comme Apple que j'avais toujour envie de tuer ou taper mais cet étalon qui ne m'avais toujour pas avouer son nom était futer et pas comme les autre il était plus sage et peut être plus respectuex enfin c'est l'image qui m'affichais comme sa mais peut être n'étais ce pas le cas.
En faite il parraissait plus vivant qu'Apple parceque on arrive plus à perçevoir ses émotion Apple' reste au fond de lui un démon à l'état pur. Rien à voir !
J'étais fatiguée et énervée de devoir me méler à toutes les embrouilles d'en ce moment. A chacunes de mes récentes rencontres j'ai dut me battre ou defier quelqu'un là je ne prenais plus de plaisr à tuer et faire souffrir.
-Tu ne m'as toujour pas avouer ton nom !
J'avais déjà baisser d'un ton sans pour autant paraître simpatique. Mais quelques chose me disais de ne pas me battre et de ne pas l'agresser. Quelque chose que je ne pouvais controler

-Bloody Sunshibe.

C'est bien ce que je pensais je ne le connaissais pas !
Aï Aï les vla ! Un ojr quelqu'un m'expliquera à quoi servaient les chaleures quand il nous étaient impossible d'imer un jour quelqu'un d'autre que le diable. Je sentais le liquide chaud couler le lond de mon flanc alors par reflexe je rabessa les oreilles et plaqua mes queue entre mes cuisses.
Je croit qu'il petait sa crise il allait finir par tout casser et nous faire sombrer.En faite il était trop complexe, je n'arrivait jamais à savoir ce qu'il voulait un coup il me parle a peut près gentiment et après il cogne le sol avec son sabot.
-As-tu déjà rencontré Poisonded Apple ?
Il était là en chair et en os devant moi alors j'en déduit que non.
J'était user et fatigué de mes trois derniers jours, j'avais envie de dormir ou de m'alonger sur on coussin de feuilles mort de l'automne, mes paupière lourdes tentaient de m'emenées dans leures rêve de plus en plus régulièrement.

Je crois qu'elle était bien plus en train de se questionner que moi. Elle me jugeai par les muscles, surement en train de se demander si elle me vattrai un jout... *Dans tes rêves, ma belle !*Poisonned Apple ? Ce nom me dit quelque chose. Un nom étrange...Poisonned Pine plutôt.
-Oui, je l'ai déja rencontré. Il y a deux ans. Mais je n'ai qu'a moitié gagné. Nous nous sommes battus et on s'est fait attaquer. Il était déja blessé, mais je l'ai sauvé. Il s'appellait Poisonned Pine.
Il a dû rechanger de nom après cela. Il disait s'être fait honte. Suis-je franchement un étalon honteux ? Suis-je le scincèrement ? Au lieu de le laisser mourrir voila que je le sauve. Et comment on remercie un démon ? En lui crachant dessus. En changeant de nom. En tuant ses seuls liens. Et en le haïssant. Si c'est comme cela que l'on est remercié il faudrai mieux arrêter de sauver des vies, et préférer en enlever. C'est comme cela qu'il faut faire se respecter, ne pas passer pour des moins que rien. Mes jambes commençaient à s'engourdir, j'avais horreur de rester en place. La jument n'étais plus agressive. De toute façon je saurai réagir au quart de tour, si elle montrai ne serai-ce qu'un regard agressif.
Tournant la tête, je l'invitait à marcher. J'escaladais cette petite pente qui nous séparait du promontoire, puis partis un peu plus haut. Je m'arrêttai pour attendre la jument.

je me sentais bizard quand j'étais avec cet étalon que je connaissais juste et beaucoup moins agressive qu'avant. Il connaissait Poisoned Apple ?! Etrange mais son caractère lui corespondait, puissant faux jetons et faux, ce cheval ment comme il respir ! Ma dernière rencontre avec lui fut celle de notre arrangement. Mais je n'est pas vraiment envie de le revoir. Il n'inspirait pas confiance, je ne savais même pas ce qu'il pouvais trafiquer dans mon dos, c'était le genre à te trïr dès que l'occasion se présentait.
-Il est dominant également des irritables. Mais il est rare de le croiser sur les terres.
Bloody' s'éloigna pour grimper un peux plus haut je le suivit avant de commencer à mercher. En faite il n'était pas très agressif et même simpa avec moi, j'éttais détendue et relax. Il ferait un bon dominant. Cet étalon est juste et n'est pas barbare tout en étant puissant pour se faire respecter. Il devrait mieux reigner que moi sur les irritable peut être pourrais-je lui léguer ma place ... peut être pas ...
Depuis que j'étais dominante je me faisais respecter et plus personne n'osait s'attaquer à moi je ne e suis pas vraiment beaucoup battut depuis les quelques jours et les quelques semaine et je suis sur le trône. Toute mes cicartice profonde qui m'entaillaient encore la peau étaient celles de la batille avec Poisonned.
Mes chaleures en présence d'un étalon ne me dérangeaient plus et je ne cherchait pas forcément à les cacher.

Cette jument commençait à me mettre en un état gênant. Elle ne cherchais plus à masquer ses chaleurs, et je les sentait fortement à présent. J'essayais malgrès tout de rester indifférent.
Je ne comprenais pas pourquoi Poisonned avait été dominant. Son caractère l'y avais certainement poussé, mais je ne comprenais pas. Lui qui disais si bien qu'il ne voulais pas rêgner sur des moins que rien...nos rôles se sont échangés au fil des années.
Mes pas résonnaient un peu fort sur ce sable, les tendons secs j'avais besoin de me défouler. Le regard malicieux, j'observait ouvertement la petite jument. Je renacla fortement, et m'élança au grand galop. Une allure formidable, rapide et saccadée par de courtes foulées. La tête basse, les oreilles baissées, la queue fouettant l'air, je me ruais et partis en caracolant sur le rebord de la falaise.

Son regard ... Ouaa super trop expressif ... Mais quecequi m'arrive là je devient folle déjà je suis gentille et ensuite je l'admire mais sa ne va plus du tout mais après tout il était gentil avec moi je ne vois pas pourquoi je serais méchante avec lui. Mais quand il partis au galop je mourrais d'envie de faire là même chose même si une petite vois à l'interieur de moi me criait le contraire je m'élancea plus vivement que n'importe quel cheval sur terre et le dépassa en mions de deux. Je galopa vers l'extremitée de la falaise et me cabra de toute ma hauteure. Je poussa un violent hennissement et foutta l'air avec mes sabots noirs. Les oreille plaquées sur la nuque et les surcils froncé je dominais toutes les terres d'Equid Life Aventure de là ou je me trouvais. Je retomba en souplesse au sol sans quitter le vide des yeux en me tournant vers Bloody je découvrit que lui aussi était au bord de la falaise.

Une foulée souple. Un regard. Un courant d'air. Un envol d'oiseaux. Un battement de cœur. Un souffle rauque. Un battement de cils. Une autre foulée. Un autre regard. Un autre courant d'air. Un autre battement de cœur. Tous ces événements qui se succèdent sans que l'on puisse les en empêcher. Toutes ces choses qui donnent un sens à la vie. Le soleil couchant, les sabots martelant le sol comme mon cœur martelait ma poitrine. Cette allure fabuleuse, qui donnait de la valeur à ma vie de déchainé. Les crins au vent, je rattraperai quiconque sans aucun mal, tant j'étais calme et je ne pensai plus à rien. Le vide. Je n'éprouvais rien. Je ne ressentais rien. Juste une foulée. Un regard. Un courant d'air. Un arrêt. Je me cabre de toute ma hauteur, en apercevant le vide sous moi. Toutes les terres d'ELA à portée de vue. Toutes. Les lacs, les rivières, les montagnes, les plaines et les volcans. Tout semble être à portée de membres. Juste une foulée. Les grands aigles déployaient leurs ailes et donnaient leur noblesse à quiconque en voulais. Les nuages plus libres qu'eux encore, se dilataient sous les derniers rayons froids de notre étoile. Le vent s'engouffrait en chaque creux, en chaque cœur. Même dans le mien. Même dans celui de Bad Smile. Une part de beauté se trouve en chacun de nous. Il suffit de la trouver. Il suffit de l'écrire, de la prononcer du bout des lèvres. D'une foulée. D'un regard. D'un courant d'air. D'un battement de cœur. Il faut saisir notre chance, saisir notre vie et saisir notre liberté. Toute vie trouve une fin. Mais moi je ne suis pas certain de la vouloir. C'est en cet instant que j'étais heureux, heureux comme je ne l'avais jamais été. Toujours que foulées, de regards, de courants d'air et de battements de cœur. La jument noire qui semblait être mon ombre me regardai fortement. Je sais ce qu'elle ressent. Une notion de liberté enfermée dans un cœur de pierre. Le mien est déjà fendu. Depuis longtemps. Depuis que la première foulée à touché le sol. Depuis toujours. Ma vie est une routine infernale, mais je m'en contente. Une foulée, un regard, un courant d'air, un battement de cœur.

[C'est poétique =) ]

Je respira a plein poumons en essayant de capter toutes ces odeures qui m'entouraient. Je sentais, l'herbe coupée, le frais des forêts alentoures, les chevaux qui m'entouraient mais je n'arivais pas à détecter toutes les odeures esquises que je respirait avec bonheur.
Je toura légèrement la tête et aperçus Bloody un regard petillant ouvert et heureux surment le même que le mien. C'était étrange ..étrange que surment les deux chevaux les plus durs des terres se retrouvaient heureux même pendant une periode de chaleures. Peut être que sa n'arrivera qu'une seule fois peut être que sa arrivera plusieur fois ... Peut être que sa arrivera a chaque fois que je le croiserais ...
Je me raprocha de lui au petit pas ... tranquillement pas préssée mais sans crainte, les oreilles pointées en avant comme lui d'ailliaur. La converation me manquait.
-Tu ne trouve pas sa bizard ? D'être heureux, enfin je veux dire de ne pas vouloir se battre, pour moi c'est quelque chose que je n'est pas ressentit depuis plusieurs années.
Je me retourna vers le bord de la falaise et observa de nouveau le vide. ... La liberté.

[Je crois que c'est un des plus beaux RPs que j'ai jamais fait *se vante un peu la fille xD*]

Je le croyais aussi. Pour moi le bonheur ne s'était jamais manifesté comme cela, aussi simplement. Je ne m'étais jamais contenté que de choses presques inimaginables. Mais il y a parfois des petits moments de bonheur, de calme, de douceur. Ceux-là je les ai eu avec cette jument, aussi douce soit elle, bien qu'à première vue elle ne me le paraisse pas. Agressive, renfermée, voir méchante. Tout comme moi. Mais j'ai pris par dessus mon esprit. J'ai su surmonter cette force qui me barrait du monde. Maintenant je suis heureux. Je ne savais pas comment remercier Bad Smile. Elle avait su me rendre heureux juste par sa présence. Je ne savais vraiment pas.
-Oui, étrange...cela fait longtemps que je n'ai pas été heureux comme cela.

J'était calme c'était incroyable de ne pas avoir trop de chose a faire d'un coup ni a devoir être méchante pour ne pas être battue mais je savais que sa n'allait pas durer et que dès que je ne serais plus avec Bloody je redeviendrais comme avant. Parceque c'était mon instint et que cela devait rester ainsi. Et quand je pensais à toutes les heorreures qui m'avait rendu ainsi je ne pouvais pas redevenir gentille et douce comme un agneau avec tout le monde. Non c'était impossible ! *Jamais plus je ne veux revivre ce que j'ai vecu*
Mais il n'y avait qu'avec Bloody que me sentais bien. Et j'était à l'aise sans vouloir le mordre ou l'attaquer. Il me rendait heureuse. Et je voulais passer plus de temps avec lui pour rester heureuse plus longtemps.
-Mais je ne suis comme sa qu'avec toi et quand je me retrouverais de nouveaux seule je redeviendrais méchante et agressive, je suis comme sa et je ne peux pas me changer.
C'était difficil de croire que je parlait à l'étalon avec qui je me attais au debut de notre rencontre. Mais ce qui était encore plus incroyable c'est que je ne voulais pas lui mentire sur ce que je ressentais et ce que je pensais.

Je sais. Je savais. Elle avait l'air si heureuse...comment une jument qui avais voulu m'attaquer, qui venait de se battre et qui semblait être si touchée au coeur pouvais-t-elle être heureuse à présent ? Je me posai cette question alors que je connaissait la réponse. Mais je refusai de l'admettre. Disons que je ne l'avais jamais vraiment été. Il m'arrivait souvent de trouver une ou deux juments jolies, voir même de les saillir, mais jamais encore je n'avais été amoureux. Je ne savais pas ce que cela faisait. Là j'étais juste heureux. Juste content. Juste fleurissant, le sourire qui se dessinait sur mes lèvres était un sourire de joie. Avant j'aurai souris de vengeance. Là je m'en trouvais incapable. Je poussai un hennissement suraigu, un hennissement de liberté. Mes membres fouettaient l'air, et semblaient voler. Retombant lourdement sur le sol, je lançai un regard pétillant à la belle noire. Un regard plein de sentiments. Mes oreilles pointèrent vers l'avant, ma tête se relevai doucement. Je détournai le regard, hennis un court instant, et me jetai dans le vide.
Cette descente de la colline allait à toute allure. Je rallentis un peu, attendant la jument. Je voulais m'amuser. Je ne voulais pas parler. Je voulais galoper au vent, jouer et rire. Tout le monde rit. Moi pas, depuis longtemps. Il était temps de la casser, cette routine infernale.

Je le suivis. M'élancant au grand galop. En éttandant mes foulées de géante jusqu'a pouvoir le ratraper et nous voilà, galopant dans l'herbe verte. Tous se qui pouvait ressembler à un compte de fée. En faite dans ma vie construite de larme et de peur voilà peu à peu qui s'installe un peu de gaiter et de bonheur. Je m'amusais tellement que j'en avais oublier les chaleures qui d'habitude me rendaient execrable. Mais je m'amusait et je ne pensais à rien d'autre qu'a ma vitesse et a l'air qui s'engoufrait dans mes naseaux dilantés. Mes membres noirs allaient tellement vite que l'on avait l'impression d'une ombre sous mon corp. J'hennis de joie et lancea par dessus mon dos un léger coup de cul. Je me retrouva aux coté de l'étalon à la couleur claire. Et nous avancâme à la même alllure, syncro. Je balancea ma tête d'avant en arrière tellement j'était joyeuse. Je ne voulais pas repensser à tous les malheurs de ma vie passée et j'aimerais que ce moment durt jusqu'a l'éternitée.

[excuse]

Le soleil qui descendait peu à peu dans le ciel laissait place à des nuages pourpre et orangés, parsemées de légères petites étoiles. La brume jaunatre parcourait les terres de long en large, et deux chevaux descendait d'une falaise au grand galop. Ces chevaux, c'était nous. Nos foulées s'étendait jusqu'à l'infini, voulant toujours aller plus loin, plus vite, plus longtemps. C'est cela, la joie. Lorsqu'une chose nous plait, il ne faut pas s'arrêter pour un point de coté. Nos limites d'endurances étaient largement franchies, mais aucun de nous deux n'en recevait les concéquences. C'était trop beau pour être vrai. Et la nuit tombante commençait à m'inquiéter, surtout pour elle. C'est à cette heure que les embuscades de chevaux viennent pieger les innocents. J'aurait pû me battre contre au moins cinq de ces chevaux, mais pas des trentaines. Je préférait don repartir, et revenir un autre jour, pour m'amuser encore plus qu'à ce jour. Cette jument était ma source de bonheur, pourquoi le nier ? Elle me prêttait du plaisir à galoper, juste à galoper le plus vite possible, le plus amplement possible. Avant j'aurait été incapable de m'amuser comme cela. Une chose était sûre, je reviendrait vite. Pour revoir Bad smile. Et jouer avec elle comme je joue avec le vent.
-Je suis désolé, mais je dois partir. A cette heure, les embuscades commencent, et je ne pourrait pas venir à bout de toute une troupe.

» PV CORNU