El Kador est sur la place ! [PV : une jument]

Elle fut choqué de savoir qu'il avait déjà eu un poulain avec une jument qui ressemblé a Kadhidja physiquement et caractérement. Puis, elle remarqua qu'il avait eu une grosse perte de famille. Mais, qu'il avait déjà eu un poulain. *Le pauvre *

" Enfin, je suis désolée... Mais, elle ne me ressemblait... pas. elle hésita puis: J'aime pas les poulains. *C'est balot! *
Elle devait le dire, fallait pas qu'il se fasse des ambitions.

-Moi non plus je n'aime pas les poulains...enfin, plus....

Si la jument lui ressemblait, mais il ne voulait pas lui repeter. Il pesait chacun de ses mots pour ne pas "coller" la jument de trop pres, ni l'embetter. Mais il ne trouvait plus de sujet de conversation. Il attendit que la jument en trouve un, pour faire l'interressé. Le vent soufflait plus fort, ses crins volaient au vent lui donnant un air....spécial.
C'était un étalon magnifique....mais il ne connaissait personne.

Elle avait penser tout autre chose de la réponse de El Kador. Kadhidja croyait qu'il allait dire " a dommage..." ou "Moi si"... Bizarrement, non. Il n'aime PLUS les poulains. C'est assez étrange de la pars d'un étalon dragueur.

" Tu sais, tu as du courage!

Elle s'interrompit et secoua la tête de façon a ce que son toupet ne lui tombe pas dans les yeux.

" Tu charme une jolie dame a qui tu ne connais pas son caractère!

Elle avait raison. Mais, ils avaient des choses en commun. La même race, les même " goût ". Enfin non, car Kad' avait plus goût de vangeance que d'autre chose. Mais sa, il ne fallait pas le dire. Le gros point noir de l'histoire est Kadhidja. ELLE.

-Cela fait au moins deux bonnes heures que l'on parle. J'ai remarqué quelques débuts de caractère chez toi. Au début, tu était difficile d'approche, et agressive. Maintenant tu est plus le contraire. Scincèrement,....je.....

Il n'aurait pas du sortir tout cela. Il avait peur de passer pour un espion. La jument est belle. Il est sous le charme. Il n'en peut plus. Il sait que c'est elle, même avec un caractère horible.

-Ne fais pas attention à ce que j'ai dit...

" Hé béh d'accord.

Sincerment quoi? Oui, il a dit de ne pas y faire attention mais elle l'a entendu. Tres distinctement d'ailleurs. Caractère horrible? Pour une fois, il avait raison! Kadhidja se demander a quoi il jouer, au mignon petit espion ou au charmeur den periode de chaleur? Ou encore, a rien du tout....

" Je crois que tu as deviner de quelle catégorie de male que j'ai rencontrer.

Oui, il était dans les mignon qu'ils ne la connaissaient pas.

" Tu es bien joli. Mais je t'assures que tu me connais pas.

En effet, un jour, un étalon du même style de El Kador ( en plus collant ) A charmer la belle. Ras-le-bol, elle lui en a fichu une en plein dans le chenfrein et elle est partie. Mais sa, c'est le cas extrème.

El Kador n'en povait plus. La jument ne voyait rien de lui elle. Il en avait tellement marre, qu'il en transpirait. L'horreur. Il ne pouvait pas s'empecher de piaffer. Sa queue fouettait l'air rageusement. On voyait le blanc de ses yeux. Là, il était impressionant. De beauté, autant que l'on se trouvait minuscule, face à lui.

-Toi non plus, tu ne me connais pas. Mais je t'aime, je ne sait pas t'expliquer.

Il était effondré. Toujours en colère contre il ne sait quoi, il se retourne et va s'arreter un peu plus loin, dos tourné vers la jument.

Vive la belle allure! Un étalon qui s'énérve parcequ'il aime une jument, c'est bien de la frime sa! Ah oui, elle en a vu d'autre comme sa, sa lui fais plus rien. Alors elle commença a se ruer pour calmer se " cinéma " plutôt divertissant que apeurant pour La belle. Puis ,elle se remit sur ses quatre membres fins

" Je ne te connais pas? Oui, j'ai jamais dis l'inverse..

Et encore, si El Kador le bel étalon avait dis que sa... AIMER Kadhidja? Comment est-ce possible? Par magie voila qu'il flash sur elle! Où sur son physique... Ce qui est dangereux de sa pars...

" Et puis tu ne peux PAS m'aimer ! Je suis trop... trop..

Il fallait l'admettre, Kad' n'était pas la belle promise idéale. D'accord,sa belle silhouette connut des arabes est très mignonne, sa robe grise pommelée légerement blanchâtre est magnifique. Ses crins, ni trop épais, ni trop fins était d'une beauté.. Mais...

" MAUVAISE!

Son caractère ne l'était pas. Kadhidja est le genre de jument a se battre sous un pretexte parfois pas très cohérent. Le genre a narguer, a taquiner presque méchamment; a mordre, a rire méchamment des chevaux aillant perdu quelques chose, a rigoler de certain poulain. Mais pas a aimer.

-Si ,je peut. La preuve.

Il se retourna, lentement, en prenant tout son temps. Ses membres fins étaient si légers que l'on pourrait penser qu'ils allaient s'emmeller.
*Trop tard, j'ai déja perdu sa confiance...*
Il était triste, il en avait assé. Il releva sa tête, et chassa les crins de ses yeux, puis se planta face à la jument, non loin d'elle. Il regardait, de ses yeux d'un gris profond, les yeux de la jument. Très fixement.

-Pourquoi tu essaye de te rabaisser ?Je suis sur qu'au fond tu n'est pas si mauvaise que tu le dis.

Elle le regarda, stupéfaite. IL lui avait répondue " SI ". Etait-elle si "bien" a ses yeux? Elle secoua sa tête, ses crins voletait a cause du leger vent qui passait .
Elle vit les yeux de l'étalon, ils étaient d'un gris superbe, profond. Puis elle vis que l'étalon avais comme confiance en Kadhidja, ce qui était déjà anormal. Il n'avais rien compris où il savait vraiment qui elle était? Maintenant, Kad avait des doutes, et des gros.

" Je ne me rabaisse pas, je dis la vérité, pas un seul cheval ne m'a dis le contraire de ce que je viens de te dire.

Etait-ce vrai? Oui, sa mère n'avais pas vécue assez lomptemps pour s'en rendre compte mais Kadhidja est une peste. Déjà petite, elle planté des épines de roses dans l'étalon du clan. Elle en riait. A cette pensée, Kadhidja riait en silence, le sourire en coin.
Kador disait qu'elle n'était pas si mauvaise... Elle leva la tête haute puis elle ajouta:

" Enfait personne ne m'a assez connue pour savoir si j'ai du bon en moi ou pas. Elle soupira et ajouta Même ma mère.

-M'a-tu déja entendu dire du mal de toi ?

Il pensait qu'il se remontait le moral seul. La jument se posait encore des questions.
La jument continuait à parler, et il ajoutait :

-Mais moi, je voudrais bien te connaitre. Même aller plus loin, mais tu m'en empêche, tu te rabaisse de sorte à ce que tu devienne ce que tu ne veut pas devenir.

Il voulait prouver à cette jument merveilleuse à ses yeux qu'il était possible de se faire aimer, par n'importe qui, qui que l'on soit. Lui n'avait pas eu beaucoup de chance plus jeune, ses parents sont morts. Il s'est élevé tout seul, pauvre poulain dans son troupeau.

-Sache quelque chose. On peut toujours se faire aimer. Toujours. Etre seul n'est pas bénéfique pour la santé, et quand on à un problème, c'est mieux d'être entouré. Si un jour, tu as besoin de quelqu'un pour n'importe quoi, moi, je suis là. Je serais toujours là.

Il détourna son regrd de la jument quelques instants, pour se remettre à regarder le fond de ses yeux ensuite. Il la fixait d'une manière étrange, comme pour lui dire quelque chose...

Jamais, non jamais, oui jamais personne n'avais parler comme sa a Kadhidja. JAMAIS. Alors, elle baissa la tête, elle été surement vaincu d'elle même en se moment. Sa mère ne lui avait jamais dis sa, son père ( gros débile ) elle ne l'a même pas connu, son troupeau, ne cherchait pas a la connaitre et se méfier même un peu d'elle, alors le fais que quelqu'un s'interresse a ELLE, c'était une surprise. Elle n'avait jamais était vraiment heureuse; là, elle ne l'était peux-être pas, mais elle avait fait un grand pas vers le bonheur.

" Pas vraiment... Mais cela fait que 3 heures que l'on se parle! Et puis, tu as un goût bizarre en jument...

Le discours peux être un peu long de Kador venait de lui faire réaliser que le méchant n'été pas une solution. Mais elle aimait bien l'être quand même. *M'en fiche, je serais toujours Kadhidja* Mais elle fut très touché par son dialogue.

" Je ne suis pas encore sur de te croire. Aimer est un bien grand mot tu sais. Et puis, aimer, c'est que pour les juments pimbeches qui ont rien d'autre a faire que d'aimer quelqu'un. Il n'éxiste pas l'étalon idéale, ni la jument, et non Kador, ce n'ai a mon avis pas moi qu'il faudrait aimé...

-Ne me crois pas si tu veut, mais sache que tu en aura besoin un jour ou l'autre.

Il se retourna, huma l'air, puis secoua sa tête, pour faire retomber ses crins vers l'arrière.

-L'amour n'est pas pour les pimbêche, il sert, et bien plus que tu ne le crois, mais ça, ce n'est pas à moi de te l'apprendre. Si tu ne veut pas aimer, n'aime pas, tant pis pour toi. Ce sera toujours des bons moments de bonheur perdus.

Kador voulait faire réagir la jument. Si ce n'est pas de lui qu'elle tomberait amoureuse, tant pis !Il à déja tenté sa chance, elle ne lui plait pas, elle trouvera avec quelqu'un d'autre !Mais il faut qu'elle aime quelqu'un, dans sa vie. Il faut qu'elle comprenne ce qu'est "vraiment" le bonheur. Chose qu'elle n'a pas eu le plaisir d'avoir fait, d'après lui.

" Je me dois de t'écouter...

L'étalon essayer de lui apprendre le mot " amour " qui rentre très difficilement dans es oreilles de Kadhidja.

" Si tu le dis, j'espère ne pas tomber amoureuse trop tôt. Elle ria en silence, continua avec un sourire en coin L'amour n'est peux être pas si mauvais, je croyais qu'il était comme ma mère et mon père. Séparé au moindre incident.

Puis elle se dis que le temps était de partir, il allait surement pleuvoir, le vent accelerrait et les crins de la belle fouettait l'air d'une maniere sublime.

" Je vais y allait mais... Tu sais..

Elle se pinca les levres et reprit

" Si je tombe amoureuse, tu as peux-être une chance.

Alors, elle partit au galop, loin de Kador, sans se retourné.

El Kador était heureux. La belle Kadhidja lui avait dit qu'il aurait une chance. Cela suffisait à lui remontaer le moral d'un seul trait. Paf !Comme ça. La belle grise partit au galop, sans le regarder. Il chuchota alors, bien que la jument ne l'entendrait certainement pas, :

-Je t'aime Kad' !

Il la regarda s'éloigner, de ses grands yeux gris profonds, puis leva la tête vers le ciel, le vent lui faisaient voleter ses longs crins légérs. Il descendit sa tête, puis partit au galop à son tour, sautant, ruant et cabrant de joie. On sentait une jois de vivre dans le comportement de cet étalon, fou amoureux.

[On peut fermer si tu veux !^^]

Oui ^^